Les femmes et les personnes de diverses identités de genre représentent plus de la moitié de la population canadienne. Pourtant, leurs perspectives sont souvent absentes des reportages, des conseils d’administration et des discussions politiques. Ce n’est pas seulement une question d’équité : cela a des conséquences directes les décisions qui impactent nos vies.
Les recherches démontrent que lorsque les femmes et les minorités de genre participent aux prises de décision :
Alice Walker
Notre équipe réunit des défenseures passionnées, des formatrices expérimentées et des actrices du changement engagées aux quatre coins du pays. Du personnel aux membres de notre conseil d’administration jusqu’aux bénévoles, nous sommes unies par un même objectif : les femmes et les personnes issues de la diversité de genre doivent avoir leur mot à dire au sujet des décisions qui les concernent.
Née en 1980 sous le nom de MediaWatch (devenu plus tard Media Action), notre organisation s’est d’abord consacrée à observer et à analyser la représentation des femmes dans les médias.
En 2010, Shari Graydon, chroniqueuse, militante et ancienne présidente du conseil d’administration, lance Informed Opinions comme projet de MediaWatch, avec l’objectif d’offrir aux femmes les outils et la confiance nécessaires pour participer activement au discours public.
En 2019, nous adoptons officiellement le nom Informed Opinions (Femmes Expertes en français), pour refléter une mission plus large : faire entendre les voix sous-représentées.
Découvrez notre nouvelle marqueCréation du premier répertoire d’expertes au Canada
Lancement de l’outil de suivi de l’écart entre les hommes et les femmes (Radar de Parité) en collaboration avec l’université Simon Fraser.
S’attaquer à la haine en ligne avec la boîte à outils de recherche et d’action Toxic Hush
Introduction de l’initiative « Équilibrer le pouvoir » pour susciter un changement systémique
Mise à jour de notre nom pour mieux refléter notre identité nationale et nos valeurs
Perspectives plurielles reconnaît que les terres où nous vivons et travaillons sont celles des Premières Nations, des Inuit et des Métis, qui y habitent depuis des millénaires.
Nous reconnaissons également les politiques génocidaires mises en œuvre à l’encontre des peuples autochtones par les colons et par de nombreux gouvernements élus agissant au nom de leurs citoyens et citoyennes. Nous regrettons profondément que des politiques, passées et actuelles, continuent d’exclure et de marginaliser les communautés autochtones.
Nous nous engageons à poursuivre notre apprentissage et notre démarche de réconciliation, et à mettre en place, dans le cadre de notre travail, des mesures qui contribueront à atténuer les effets du traumatisme intergénérationnel encore présent dans ce pays.
